Auteur : dimitri

Abonnés Freebox : voici comment se passe le raccordement à la fibre optique, dans le cas d’un RIP

Vous êtes abonné Freebox, sur un RIP où la fibre Free est disponible, et souhaitez connaître les différentes étapes du raccordement à la fibre optique ? Voici le cas du RIP Rosace en images et en animation. Cela se passe bien sûr de la même façon quel que soit le RIP.

Rosace, fait partie des réseaux d’initiative publique où Free propose ses offres fibre optique et ce depuis mai 2019. Aujourd’hui, environ 200 000 foyers desservis par ce réseau sont éligibles à un abonnement Freebox FTTH. En 2022, soit au terme des travaux, 696 communes seront concernées dans les départements du Bas-Rhin et du Haut-Rhin soit 380 000 prises, autant de logements pour qui l’offre fibre de Free sera accessible.

En charge du déploiement de ce réseau fibre, Rosace en profite pour apporter des éclaircissements concernant les différentes étapes du raccordement dans le cas d’un logement individuel, mais également dans le cas d’un immeuble. Une procédure qui s’applique également aux abonnés Freebox dans d’autres RIP.

Dans le cas d’une maison individuelle, il faudra ainsi commencer par vérifier son éligibilité auprès du site Internet de Rosace, puis choisir son fournisseur d’accès à Internet parmi ceux proposés, souscrire un abonnement et prendre rendez-vous pour qu’un technicien vienne s’occuper du raccordement. Un rendez-vous qu’il faudra d’ailleurs préparer en amont. En posant si nécessaire un fourreau sur le terrain.

Dans le cas d’un immeuble, des démarches doivent être effectuées par le gestionnaire de co-propriété qui devra notamment signer une convention d’installation avec Rosace. La fibre optique sera tirée jusqu’au local technique de l’immeuble, puis distribuée jusqu’aux boîtiers d’étage via les colonnes montantes. Dans les logements, il faudra simplement préparer le passage du technicien en poussant les meubles ou effets personnels, afin de faciliter l’installation de la prise terminale. 

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Les offres fibre optique de Free disponibles sur un nouveau RIP

Free continue de déployer ses offres fibre optique partout en France. Après le Grand Est (Rosace), l’Auvergnele Vauclusela Manche ou la Sarthe, l’opérateur commence à proposer sa fibre FTTH dans le département de la Drôme.

Comme le rapporte le site BusySpider, les offres fibre optique FTTH (Fiber To The Home) de Free arrivent sur ADTIM, l’un des RIP (Réseau d’Initiative Publique) gérés par l’opérateur d’infrastructure Axione. 

Les offres fibre optique de l’opérateur de Xavier Niel commencent en effet à être disponibles sur des adresses à Beausemblant, Laveyron et Saint-Vallier, dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. 

Pour rappel, Free a signé en juin 2017 un contrat-cadre d’approvisionnement pour pouvoir proposer ses offres sur les différents RIP opérés par Axione. L’opérateur de Xavier Niel a également signé avec les opérateurs d’infrastructure Covage et Altitude.

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Free lance une nouvelle publicité mettant en avant Prime Video inclus dans la Freebox Delta, mais ne perd pas le Nord

Free a intégré sans surcoût un abonnement Amazon Prime dans son offre Freebox Delta. Découvrez la nouvelle publicité où l’opérateur vante au passage les performances de sa fibre optique.

À l’occasion de l’intégration de Prime Video dans l’offre Freebox Delta, Free y va d’une publicité pour comparer le héros de Tom’s Clancy Jack Ryan, série dont la deuxième saison sera diffusée dès le 1er novembre, à sa fibre optique. Un Jack Ryan rapide en débit descendant et présent partout, comme la fibre de l’opérateur de Xavier Niel.

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Free lance une nouvelle campagne de publicité pour vanter les performances de sa fibre optique

L’opérateur de Xavier Niel y va d’une nouvelle campagne publicitaire sur le mobilier urbain pour mettre en avant les performances de sa fibre optique.

Bien décidé à renforcer la communication autour de sa fibre optique, Free a en effet lancé une nouvelle campagne de publicité avec affichage sur le mobilier urbain.

Pour l’opérateur de Xavier Niel, il s’agit de mettre en avant les performances de sa fibre optique, en rappelant qu’il offre les meilleurs débits descendants d’après le baromètre nPerf pour le premier semestre 2019.

La stratégie publicitaire de Free repose également sur d’autres supports comme des spots vidéo décalés ou des sachets à pain.

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Clin d’oeil : la fibre optique 10G-EPON de Free vous donne des frissons

 

Free poursuit sa communication pour inciter au passage à l’une de ses offres en fibre optique. 

Free entend conserver sa première place pour le recrutement dans la fibre. Dans cette optique, l’opérateur de Xavier Niel a intensifié la communication autour de ses offres, en tournant à la dérision le slogan c’était mieux avant à travers des tweets ou des spots TV décalés

Dans un récent tweet montrant une femme murmurant "Fibre Free 10G-EPON" à l’oreille d’un homme dans une première image, puis les frissons provoqués dans une seconde, Free insiste sur le fait qu’il propose de la fibre optique à même de donner des frissons lors de sa simple évocation. L’opérateur fait évidemment allusion aux forts débits promis avec ses offres Freebox Delta et Freebox Delta S.

Pour l’anecdote, le tweet est apparu une première fois avec le hashtag #internetcestmieuxavant, pour disparaître aussi sec et réapparaître avec le hashtag #internetcestmieuxmaintenant.

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Clin d’oeil : c’est parfois très long sans la fibre optique de Free

Free communique avec humour pour suggérer le passage à l’une de ses offres en fibre optique. 

Free entend conserver sa première place pour le recrutement dans la fibre. Dans cette optique, l’opérateur de Xavier Niel poursuit notamment sa campagne contre l’ADSL 8 Mbit/s, matérialisée par des clips vidéos décalés en mode "nostalgeek où les protagonistes disent que c’était mieux avant, afin de promouvoir ses propres offres. 

Dans un tweet montrant un squelette devant un ordinateur portable, Free rappelle ainsi qu’un téléchargement peut prendre pas mal de temps dans le cas d’une liaison en ADSL. S’il n’échoue pas juste avant la fin. Du coup, pourquoi se priver de la fibre optique lorsque l’on est éligible ? 

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Fibre optique : voici la nouvelle plaque de Free pour indiquer le fibrage de l’immeuble par l’opérateur

À l’heure où il met le paquet pour le déploiement de la fibre optique en France, Free compte bien le mettre en avant. L’opérateur renforce sa communication auprès du grand public.

Dans le cadre de la Convention Free 2019, Free a rappelé qu’il mettait les bouchées doubles pour le déploiement de la fibre optique, afin d’asseoir sa position de premier opérateur alternatif sur le FTTH en France. L’opérateur de Xavier Niel avait alors indiqué avoir dépassé son premier million d’abonnés fibre en janvier dernier et un passage au deuxième million d’abonnés l’année prochaine. Ces efforts, Free compte bien les mettre en avant, en informant ses abonnés et abonnés potentiels.
 


 

D’où des campagnes de publicité locale pour mettre en avant ses offres fibre optique à partir de 14,99 euros par mois ou pour indiquer leur disponibilité effective, mais également une nouvelle plaque qui sera mise dans les immeubles pour indiquer le fibrage par Free, nous a fait savoir l’opérateur.  Voulue plus claire, notamment concernant les moyens de souscrire à une offre (téléphone, site Internet et boutiques physiques), elle est déployée depuis début juin.

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Interview Univers Freebox : une signature de Free avec TDF et SFR Collectivités est “imaginable d’ici la fin de l’année” selon le président d’InfraNum

 

Calendrier prévisionnel du déploiement de la fibre optique en France, solutions alternatives pour desservir les dernières zones du territoire en très haut débit, financement et situation de Free. À l’occasion d’une interview avec Étienne Dugas, président d’InfraNum, fédération regroupant les principaux acteurs du très haut débit en France, Univers Freebox fait sur le point sur le déploiement du très haut débit en France.

Univers Freebox : L’Internet très haut débit via la FTTH (fibre jusqu’à l’abonné) concerne les particuliers à l’heure de la dématérialisation des services de l’administration et des contenus. Avez-vous d’autres exemples des bénéfices de cette hausse des débits, des exemples auxquels on ne penserait pas spontanément ?

Étienne Dugas : Bien sûr. Nous sommes à l’aube d’une approche radicalement nouvelle en matière de gestion et d’information sur nos territoires. S’il y a quelques exemples concrets et remarquables de smart territoires, le potentiel d’applications et d’usages est énorme, et je présume que nous ne sommes pas au bout de nos surprises…

UF : En parlant de hausse des débits, a-t-on une grosse marge de progression pour les 5 ou 10 années à venir ?

Oui, car la capacité de la fibre étant quasiment infinie, chaque longueur d’onde, elles-mêmes déclinées en très grand nombre, peut sur une même fibre véhiculer des débits colossaux. En débit réel, la capacité du réseau dépend au final des équipements de terminaison. Ceux-ci progressent technologiquement tous les jours.

UF : Toujours à propos de débits, Free a été le premier à annoncer de la fibre 10 Gbit/s avec sa Freebox Delta lancée fin 2018. Pensez-vous que les concurrents vont lui emboîter le pas rapidement ?

Il est certain que les débits vont continuer à augmenter, non seulement parce que les usagers vont consommer de plus en plus d’applications et parce que les applications vont en consommer de plus en plus. Ce n’est donc pas une question de capacité, mais de marketing des offres.

UF : 10 Gbit/s, c’est un beau chiffre en termes de communication. Mais quels usages pour un tel débit à l’échelle d’un foyer ?

Quand un foyer dispose de plusieurs équipements et que chacun de ses membres veut consommer un Game Of Thrones, un dessin animé et assurer une conversation Skype/Facetime dans de bonnes conditions, et en même temps, on arrive vite à 10 Gbit/s. Demain, la 4K nécessitera des débits plus importants. Rappelons que c’est la vidéo qui consomme la bande passante.

UF : Selon les prévisions du secteur, 80 % des foyers français auront accès à la fibre optique en 2022. Où en est le calendrier ? 

La filière est au rendez-vous du plan France Très Haut Débit. Il a fallu quelques années pour qu’elle s’industrialise, mais nous y sommes. À fin 2018, nous avions construit 37 % des prises prévisionnées à terme. En 2022, nous sommes désormais certains que nous aurons atteint collectivement l’objectif de plus de 80 % des locaux fibrés dans notre pays. 

UF : Combien de lignes FTTH ont été construites aujourd’hui ? Combien devront être construites d’ici 2022 et à quel rythme ?

En 2018, nous avons construit 3,2 millions de prises pour un cumul en fin d’année à 13,6 millions de prises. Le cap des 4 millions de prises FTTH produites par an devrait être franchi cette année (progression de 2,6 à 4,3 millions en 2 ans). En ce moment, la filière construit 15 000 prises par jour ouvré. C’est colossal.

UF : Pouvez-vous nous en dire plus sur le chemin qui restera à parcourir pour atteindre les 100 % ? Quels freins avez-vous identifiés qui pourraient empêcher les opérateurs d’atteindre cet objectif ?

Tout d’abord, il faut reconnaître que la volonté du gouvernement est réelle et s’est traduite dans les faits par une avancée majeure avec l’adoption de la loi ELAN. Celle-ci permet de traiter la majeure partie des freins au déploiement qui existaient auparavant (lourdeurs administratives, contraintes de copropriétés, etc.). 

Beaucoup de chemin parcouru également dans notre croisade pour faire connaître les métiers de la filière et aider les industriels à recruter massivement les compétences dont ils ont besoin pour tenir les objectifs. Si 2019 doit être une année record avec 6 400 nouveaux collaborateurs à intégrer, soit 2,5 fois plus que l’an dernier, les prévisions sont optimistes avec des taux de remplissage dans les centres de formation encore jamais égalés.

Le 3e frein majeur, mais dont l’issue est moins avancée que pour les deux précédents, est celui du financement du « reste à faire » après 2022. Compte-tenu des dernières signatures de RIP et dans l’hypothèse où toutes les demandes AMEL actuelles trouvent une réponse favorable, le nombre de prises à connecter en THD au-delà de 2022 est estimé à 6,4 millions. Parmi elles, au moins 3 n’ont pas encore trouvé de financement. Ces prises, les plus difficiles à raccorder, pourrait coûter 5,715 milliards d’euros, dont 800 millions de fonds d’État. Sachant de surcroît que les déploiements ne s’arrêteront pas à cette date (une densification est à prévoir pour répondre aux nouvelles implantations), InfraNum et l’Avicca ne cessent d’appeler à une réouverture prioritaire du guichet de financement des RIP.

UF : Il a récemment été évoqué la nécessité d’une enveloppe supplémentaire de 800 millions d’euros pour déployer les dernières prises (les 3 millions les plus complexes et les plus coûteuses). Comment expliquer le coût inférieur aux 1,2 à 1,5 milliard estimés précédemment ?

Effectivement, depuis les premières estimations gouvernementales réalisées à l’époque par le ministre Jacques Mézard, les données ont changé. L’introduction du dispositif AMEL permet de reporter une partie de l’effort de financement initial par les opérateurs privés, avec néanmoins une perte de propriété du réseau pour les collectivités locales ayant fait ce choix. Et dans le même temps, l’industrialisation du déploiement a naturellement généré des économies.

UF : D’ailleurs, quelles solutions existent-ils pour les foyers les plus compliquées à desservir ?

D’après nos estimations, au-delà de 2022, 2,2 millions de foyers auront besoin de mix technologique. Seuls le THD radio et le satellite permettront de leur apporter du très haut débit.

UF : Pensez-vous que les réseaux THD radio, pour laquelle l’ARCEP a récemment lancé une consultation publique, en vue d’identifier les projets bien avancés et de prolonger son guichet, pourrait suffire à compléter la technologie fibre optique ?

Oui, mais la prolongation du guichet ne se fera que pour les collectivités qui auront un projet bien avancé, sachant que l’Arcep a confirmé avoir l’intention de clôturer le dépôt des dossiers AMEL au 15 juin, c’est demain.

UF : Au regard de la situation actuelle et des prévisions, peut-on encore dire que la France est en retard en matière d’Internet très haut débit ?

La France est le pays qui déploie actuellement, ramené à sa population, le plus de prises au monde. Nous serons en 2025 le pays le plus équipé du monde, exception faite des cités états bien entendu.

Cette expertise développée collectivement et par toute une filière doit être mise au service d’autres déploiements nationaux. Cela permettra également de pérenniser notre filière. C’est un enjeu pour lequel InfraNum déploie beaucoup d’énergie et entend s’appuyer sur l’État et l’outil Comité Stratégique de Filière (CSF).

UF : Free fait-il, selon vous, partie des bons élèves en matière de déploiement commercialisation du très haut débit ?

Free est commercialement très efficace dans son arrivée sur les RIP parce qu’il sait dédier les ressources nécessaires, directement sur le terrain et avec la bonne approche humaine (souplesse et forte attention portée aux clients, pour les prises de rdv par exemple…).

UF : Free n’a pas encore signé avec les opérateurs d’infrastructures comme par exemple TDF et SFR Collectivités pour proposer ses offres fibre optique. Quand pensez-vous qu’un accord pourrait être signé ?

Je ne vois pas pourquoi ça ne se ferait pas. Et la fin de l’année me paraît imaginable.

UF : Une question enfin que peuvent se poser les abonnés : comment expliquer le délai entre la signature de Free avec un opérateur d’infrastructures et son arrivée au compte-gouttes sur ses RIP ? Est-ce pareil avec les autres opérateurs ?

Tous les opérateurs sont confrontés aux mêmes délais. La signature ne vaut pas mise en place des process. Elle indique que les conditions d’interfaçage des systèmes d’Information sont techniquement faisables et en cours d’installation. Toutefois, reste à mettre "la machine en route", et à assurer le marketing qui en découle.

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Reportage Univers Freebox : le test d’une liaison fibre optique expliqué en vidéo

 

Suite de nos vidéos tournées dans le cadre de nos reportages consacrés à la fibre optique. Dans celle-ci, un formateur nous explique le test d’une liaison fibre optique réalisé par les techniciens des opérateurs et nous présente les outils nécessaires.

Dernièrement, nous vous présentions un reportage tourné sur un plateau de formation de la CCI inauguré il y a quelques années en Lorraine. Au cours de celui-ci, Fabrice Constantin, l’un des formateurs, nous avait fait la démonstration d’une soudure fibre optique, mais également montré le test d’une liaison fibre optique.

Réalisé par les techniciens des opérateurs après le raccordement abonné pour valider la liaison, le test s’effectue à l’aide d’une source laser et d’un photomètre, un appareil qui coûte dans les 500 euros. Avant la mesure, il faut bien penser à nettoyer les outils, grâce à l’électricité statique qui permet d’enlever les poussières au niveau des connecteurs, mais également effectuer la tare pour corriger les défauts de mesure dus aux appareils. Le test sert à déterminer la perte du signal, qui doit rester sous les 25 dB.

Comme l’explique le formateur, la manipulation permet aussi de montrer aux futurs techniciens l’importance d’être minutieux lors du rangement des câbles dans les cassettes de lovage. Un pincement trop important peut impacter la transmission du signal. Une boucle de plus en plus serrée illustre bien la chose.

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